«Liberté d’importuner» et harcèlement : que dit vraiment la loi ?

Deux tribunes, l’une signée, entre autres, par Catherine Deneuve, et l’autre écrite par la militante féministe Caroline De Haas, s’opposent sur la manière de concevoir la « drague insistante ». Certaines pratiques évoquées sont pourtant bien répréhensibles pénalement :

La "drague insistante"

 "Toucher un genou"

"Tenter de voler un baiser"

"Parler de choses intimes" lors d'un dîner professionnel

Se "frotter" à une femme dans le métro

La liberté d'importuner"

 

Violences sexistes, que dit la loi?